Mouvement Anti Ahmadiyya
Bismillahir Rahmanir Rahim
Un appel aux Frères Ahmadis
Par
Ahtesham-ul-Haq Abdul Bari
Ex- ahmadi de Bombay.
Que la paix soit sur ceux qui suivent le hidayah.
Frère Mohammed Usman Saheb, membre actif du Mouvement Ahmadiyya vivant à Bait ul-Hamd,
un centre Ahmadiyya de Karachi, au nom de Mirza Tahir Ahmad Qadiani, Amir de la Jamaat
Ahmadiyya, a récemment participé à un Mubahila avec comme adversaire M. Illias Suttar sur son
livre intitulé : « Can Ahmadis Answer ? » (Peuvent-ils répondre les Ahmadis) Je suis étonné que
Mirza Tahir a peur d’affronter ses adversaires dans un duel face à face lors d’un Mubahila et
continue de mentir ses disciples en proclamant haut et fort qu’ils s’affrontent aux incroyants lors de
telles rencontres. Ainsi, j’ai pensé qu’il était de mon devoir de vous présenter certains faits en
espérant qu’Allah guidera certains d’entre vous dans le droit chemin. Ils sont bien connus par
nombreux mais y réfléchir aiderait à vous ouvrir les yeux.
L’HISTOIRE DE MA VIE
Je suis né ahmadi et depuis mon enfance jusqu’à l’âge adulte, je suis resté non seulement un
ahmadi ordinaire mais aussi un membre actif de la Jamaat. J’ai propagé avec diligence la foi
ahmadiyya parmi les non Ahmadis. Même aujourd’hui, je suis locataire dans un appartement de la
Jamaat à Mumbai en Inde. Cinquante ans auparavant, mon père était converti au Ahmadiyyat grâce
à un Muballigh Ahmadi, M. Hakeem Muhammed Din qui l’avait piégé avec la polémique
diabolique sur la vie et la mort de Jésus. A cette époque, peu de gens avaient une idée claire sur le
Ahmadiyyat / Qadianiat. Comme mon père bien d’autres ont été piégés par les discours sur la mort
et la venue de Jésus, sur les signes divins des éclipses solaires ou lunaires.
Généralement, rien n’est révélé aux nouveaux adeptes sur les véritables enseignements de Mirza
Ghulam Qadiani Saheb jusqu’à ce qu’ils subissent un lavage complet de cerveau pour comprendre
la propagande des opposants au Ahmadiyyat.
La doctrine de Mirza Saheb sur sa mission prophétique était discutée tard avec un esprit hésitant
fondé sur les explications qui laissent beaucoup de gens confus. Mon père était impressionné par le
discours et les manières de Hakeem Mohammed Din et non par les croyances ou les écrits de
Mirza Saheb. Lorsque les vrais Musulmans ont boycotté mon père, il a trouvé refuge comme
locataire dans un appartement de la Jammat Ahmadiyya. Plus de la moitié de ses habitants étaient
des Ahmadis.
De toute façon, j’ai pu ouvrir mes yeux dans cette atmosphère après avoir passé toute mon enfance
dans le giron de Ahmadiyyat que je considérais comme le vrai Islam. Par conséquent, tous les non-
Ahmadis étaient selon mon opinion des méconduits et des kaafirs. Quant à mon père, il était
tellement dévoué de sorte que pour ses dons, son nom était affiché dans le Bahishtee Maabarah (le
cimetière divin) de Qadian. S’il m’arrivait de me chamailler avec un des fils de Molvi ou de tout
autre Qadiani voisin, mon père me grondait sévèrement.
Avec le temps, les doutes sur Mirza Ghulam Ahmad Qadiani Saheb et sur ses disciples se
formaient dans l’esprit de mon père. Finalement, lorsque la vérité lui était dévoilée, il avait rejoint
l’Islam. Il avait l’habitude de dire que le Ahmadiyyat était une fausse religion. Je lui prêchais
constamment en espérant qu’un jour il allait revenir au Ahmadiyyat. Je discutais avec lui sur
beaucoup de sujets comme la mort de Jésus. Mais il se révoltait en disant : « Tout cela est une
fraude et une corruption. Nous étions gardés dans l’obscurité. La vérité est que nous les Ahmaddis
moyens recevions de petits livrets de la Jamaat tandis que l’on ne nous montrait jamais les livres
écrits par Mirza Saheb. »
Mon père avait secrètement rejoint l’Islam ; il ne voulait pas le révéler à la Jamaat. Lorsque mon
grand père et ma grand-mère mouraient (l’un après l’autre), ils ont été enterrés dans le cimetière
des Musulmans malgré l’opposition de la jamaat. Cette dernière commença à nous suspecter mais
mon père continuait à dissimuler sa foi parce qu’il devrait garder le même appartement et continuer
de mener son activité lucrative au même endroit. Il n’avait pas où aller après qu’il eut perdu sa
maison et son petit commerce. Cette situation avait durée un bon bout de temps.
LES EXPLOITS DES MOLVI QADIANIS
Mon père ne participait pas à la prédication de Ahmadiyyat malgré qu’il fût un Ahmadi convaincu
qui, allait chez les non- Ahmadis pour leur parler ouvertement de cette religion. Après plusieurs
années, les prédicateurs ahmadis changèrent de stratégie. Certains visaient les jeunes filles,
d’autres se focalisaient sur les maisons des femmes alors que d’autres se chargeaient à faire des
remarques aux femmes en cours de route en disant : « Voyez ! Votre enseignant est parti etc … »
Parmi eux, il y avait Molvi Burhan Ahmad Zafar, jeune, rusé et intelligent comme un renard.
La Jamaat organisait beaucoup de conférences (Jalsas). Qui étaient annoncées à l’avance. Des
affiches étaient placardées ici et là, des annonces étaient faites dans les journaux. Au jour de Jalsa,
autour de 60 à 70 personnes étaient rassemblées dans une grande salle. Molvi répandait une fausse
propagande selon laquelle les Jalsa constituaient des succès.
Il y avait la famille de M Abdul Qadir Dabbawala, musulmane sunnite qui vivait dans notre
voisinage. Molvi Burhan me demandait et à d’autres jeunes ahmadis de provoquer pour qu’elle
déménage des environs. Sous son instigation, les jeunes ahmadis dégonflaient les pneus de sa
voiture. Parfois, nous coupions sa ligne téléphonique ou les voies d’alimentation d’eau.
A plusieurs reprises, la Mission Ahmadiyya portait plainte contre cette famille sunnite pour qu’elle
déménage mais la cour tranchait chaque fois en faveur de cette dernière. Une fois, les Ahmadis se
sont plaints à la police pour l’arrêt de l’appel d’Adhan fait à la Mosquée sunnite. Après cette
interdiction, la police avait informé M. Abdul Qadir qu’il était aussi de son droit d’exiger la même
chose. Mais celui-ci avait décliné l’offre même si l’Adhan provenait de la Mosquée Ahmadiyya.
LE FIASCO DU MOLVI BURHAN ZAFAR
Par chance durant cette période, Molvi Burhan Zafar organisa une Jalsa à Bandra, petite localité de
Mumbai. Au cours de la rencontre, certains non Ahmadis, des Molvis musulmans se sont levés
pour des questions. Burhan, au lieu de répondre, leur demanda plutôt de visiter la Mission Qadiane.
Les Molvis Musulmans en avaient profité pour distribuer des dépliants mentionnant certaines
prophéties non accomplies de Mirza Saheb comme son mariage avec Mohammedi Begun et la
mort de Abdullah Atham. C’était pour la première fois dans ma vie que j’entendais et je voyais une
telle chose. Je les prenais aussitôt pour des menteurs. Lors de leur visite à la Mission, je me suis
arrangé pour être présent. Je tenais à voir l’humiliation sur les faces de ces mullahs.
Malheureusement, le Molvi ahmadi ainsi que d’autres qadianis présents ne m’ont pas autorisé à
assister à la rencontre en prétextant que j’étais trop jeune. Plus tard, j’avais demandé à Molvi
Burhan les explications sur la vérité de ces prophéties mais à chaque fois, il n’était pas disposé à
me répondre.
Parfois, ils me parlaient de l’histoire du Prophète Jonas, que les prophéties se sont bel et bien
accomplies, que les mullahs mentaient et que telle ou telle autre prophétie ne se trouvaient pas dans
leurs livres, etc…Ainsi, ils prétextaient qu’ils m’apporteraient des livres. Mais, à la fin, ils me
disaient que les livres ont été retirés par quelqu’un d’autre et qu’il fallait patienter.
Après avoir été témoin de telles attitudes, des doutes envahirent graduellement mon esprit.
Pourquoi les prédicateurs d’une vraie religion avaient-ils un si mauvais comportement ? Pourquoi
font-ils une telle fausse propagande ? Que cachent-ils dans leurs livres ? Je me décidais de chercher
seul la vérité et je demandais les livres originaux de Mirza Ghulam Qadiani Saheb pour la lecture.
Mais ma demande est restée sans suite.
Mon père me disait que je ne devrais pas continuer à demander beaucoup de choses à ces Molvis.
Il m’informa qu’ils ont commencé à le harceler en déposant entre autre des plaintes au département
des impôts, à la police d’investigation, à la municipalité, à la Brigade etc… Molvi Burhan savait
très bien que la fidélité de la famille était en doute. En 1990, mon père tomba malade. Exploitant
cette situation, Molvi Burhan lui présenta un préavis de déménagement à l’hôpital signé par Mrza
Tahir. Après la lecture du préavis, l’état de mon père s’aggrava. Je me suis battu auprès de Molvi
Burhan et autres Ahmadis, j’avais même écrit à Mirza Tahir à propos de cette action impitoyable
des Ahmadis vis-à-vis de mon père mais je n’avais pas eu de suite.
Finalement, mon père mourut du choc au mois d’Août 1990. Mes frères cessèrent de prier dans la
Mosquée ahmadi mais, moi, je suis resté fidèle à la secte et je fus épouvanté par des signes divins
des eclipses solaires et lunaires et je m’attendais à la punition divine. Lorsque Molvi Burhan a
essayé de prier pour mon père, mes frères ne le lui avaient pas permis et il fut enterré dans le
cimetière musulman. Molvi Burhan nous qualifia d’hypocrites (munafiqs) au cours de son sermon
du Vendredi en annonçant que tout ce qui s’oppose à la Jamaat sera détruit.
EXPULSION DE LA JAMAAT.
Les choses devenaient claires. Les Ahmadis publièrent dans le journal Al Badr que nous étions
expulsés de la Jamaat. Je suis resté confus. Cependant, lorsqu’Allah veut le hidayah pour
quelqu’un, Il lui donne les meilleures opportunités. A la même période, j’avais lu un livre publié
par le mouvement anti-Ahmadiyya qui m’a donné des réponses aux nombreuses questions qui me
préoccupaient d’autant plus que les Ahmadis m’aient interdit de prier dans leur mosquée.
Peu après, ils ont commencé à nous malmener presque régulièrement. Des garçons de 10 à 15 ans
se rassemblaient non loin de notre habitation et se mettaient à chanter toute la nuit. Ils essayaient
de provoquer des bagarres pour qu’ils trouvent matière à se plaindre contre nous. Ils ont raconté un
jour à la police d’investigation que nous étions des agents du Pakistan. Ils ont tout essayé pour
nous déstabiliser mentalement, physiquement et financièrement.
Nous étions interpellés chaque fois à des postes de police pour nous intimider. La Jamaat se décida
de lancer une propagande impitoyable contre nous en disant que tout celui qui s’opposera à la
campagne contre nous, sera détruit et devra reformuler la demande d’adhésion à la Jamaat. Tous
les moyens ont été utilisés pour que nous puissions évacuer le lieu. Ils tenaient absolument à notre
ruine sur le plan financier ou à notre emprisonnement afin que nous demandions pardon et que
nous réintégrions la Jamaat.
Lorsque toutes leurs manoeuvres avaient échoué, ils conspirèrent pour mon élimination physique.
Heureusement que leur plan fut découvert à temps. L’homme qui m’a informé du plan fut éliminé
probablement d’autant plus que je ne l’ai plus revu. La Jamaat a sollicité aussi l’aide de Pathanss
de Mumbai pour nous déloger. A la fin, ils engagèrent des gangsters de la ville pour nous liquider
mais Alhamdulillah, le plan ne s’était pas matérialisé. Nous portions plainte à la police chaque fois
mais les Molvis de la Jamaat amenaient les gens avec une longue barbe comme témoins, et les
policiers nous prenaient pour des menteurs. Nombreux voulaient nous aider contre les Ahmadis
mais ils n’en étaient pas capables.
LES CONFLITS AVEC LES MUBALLIGHS AHMADIS.
Durant 14 ans, je réclamais aux Molvis qadianis le livre intitulé « Roohani Khazain ». En effet,
s’ils étaient véridiques, ils m’auraient laissé le lire. Mais, je sais aujourd’hui qu’ils ne pouvaient
pas me le remettre parce que je pouvais montrer à tout ignorant Ahmadi, dequel fatras, Mirza
Saheb a fait allusion dans ses écrits mais aussi comment il a exposé sa corruption. J’ai déclaré que
l’Ahmadiyya était une fausse religion. Par crainte d’Allah, Alhamdulillah, je suis ferme en Islam et
aujourd’hui, je prêche contre l’Ahmadiyya. Quelle fraude lorsqu’ils trompent les gens en leur
parlant de la venue de Mahdi, de la mort de Jésus alors qu’ils évitent de parler du caractère de
Mirza Ghulam Ahmad Qadiani ?
Après Molvi Burhan, un autre jeune muballigh du nom de Basit Rassol Dar est venu de Bombay.
Aujourd’hui, il vit en Israël. Après ce dernier, un autre est venu, du nom de Shamshad. Tous
rendaient visite à ma mère dans le but de la convaincre de retourner au Ahmadiyyat. Mais lorsque
je les invitais à une discussion ou au débat public, ils ne l’acceptaient jamais.
DR ASHFAQ EMBRASSE L’ISLAM ET BASIT RASOOL DAR FUIT LE DEBAT.
Le vendredi, 10 jamvier1997, deux ahmadis m’ont invité pour un débat dans la Mosquée de la
Mission ahmadiyya après la grande prière de vendredi sur le thème : « Les Ahmadis considèrent
Mirza Ghulam Qadiani comme Mahdi et non comme Prophète ni comme messager contrairement à
nos allégations (Ahtesham) ». Je leur ai déclaré que si je prouvais d’après les écrits de Mirza
Ghulam Ahmad que ses adeptes croient qu’il est non seulement Mahdi mais aussi prophète et
messager, ils renonceraient au Ahmadiyyat et embrasseraient l’Islam. Ma proposition fut
acceptée mais, lorsque je me suis présenté à la Mosquée à l’heure convenue accompagné de
Maulana Sarfaraz et autres Musulmans, les Missionnaires ont caché les deux personnes pour que le
débat ne puisse pas avoir lieu.
Molvi Basit Rasool Dar était présent en ce moment. Maulana Sarfaraz en profita pour lui
demander devant une foule d’ahmadis : « Dieu a-il un fils ? » Il répondit : « Non. » Je lui ai
expliqué que Mirza Saheb avait écrit sa révélation dans son livre, « Al Bushra vol.1 p 49 » : « O
Mon fils ! Ecoute ! » Basit Rasoul rejeta cette citation en disant : « Cela n’a pas été écrit par Mirza
Saheb, et constitue un mensonge. » Maulana Sarfaraz en intervenant lui dit de me demander
d’apporter ce livre pour que je lui montre la citation. Basit Rasool Dar quitta la salle pour aller se
cacher dans son bureau où il cria en disant Ahteshan a amené un Molvi qui ne connaît même pas
le Kalima c’est-à-dire (la profession de foi). Je montrais alors la copie aux gens présents révélant
les croyances anti-islamiques de Mirza Ghulam Saheb.
La conséquence de cette rencontre fut que Dr Ashfaq Saheb, Ahmadi, depuis cinq ans et qui
donnait gratuitement les remèdes contre l’homéopathie au nom de la Mission, abandonna le
Ahmadiyyat pour embrasser l’Islam. Beaucoup d’autres dans différentes parties de la cité l’ont
imité. Fa Alhamdulillah ala zaalik.
MOLVI BASIT RASOOL DAR FUIT LE MUBAHILA
Mon oncle, Basheer Kala Afghan /Moosa Saheb qui vit à Qadian est un « Darwesh ». Ses prêches
ont amené beaucoup de gens à la conversion au Ahmadiyyat. Cependant, il était incapable de
répondre convenablement à mes questions et éviter de discuter avec moi.
Finalement, il trouva une astuce pour m’ennuyer d’avantage, en me remettant un dépliant écrit par
Mirza Tahir intitulé : « Un défi pour un Mubahila public aux Ennemis, aux Incroyants et aux
Menteurs ». Il m’informa que c’est la réponse pour ceux qui doutaient encore.
Ainsi, chaque fois que j’étais défié pour un Mubahila, j’ai accepté. J’ai écrit une lettre en invitant
Mirza Tahir et tous les Muballighs (les prédicateurs) de la Jamaat Ahmadiyya et non les Ahmadis
moyens pour le rendez-vous du 26 Juillet 1996. J’avais aussi adressé une lettre à Molvi Basit
Rasool Dar lui demandant de répondre au rendez-vous s’ils étaient convaincus de la véracité de
leur religion. Mais, personne ne s’était présenté pour ce Mubahila malgré les rappels répétés.
Alors, j’ai dit à Basit Dar que son mensonge était exposé et que j’allais poursuivre ma mission en
allant à Londres pour y défier Mirza Tahir.
MIRZA TAHIR SE CACHE DANS SA MAISON TANDIS QUE MOLVI ATA FUIT LE
MUBAHILA
J’ai informé Basit Rasool Dar de mon voyage à Londres pour un duel avec Mirza Tahir. De même,
Dr Rashid avait informé le siège de Londres de ma prochaine visite. Lorsque je suis arrivé au mois
de Septembre 1996. J’avais passé un coup de fil au 16-18 Gressenhal, (le Siège Qadiani), c’était
un vendredi et j’avais été informé que l’Imam Saheb n’était pas disposé pour me répondre au
téléphone. Par erreur au lieu de Molvi Saheb, j’avais demandé l’Imam Saheb, qui immédiatement
les avait fait comprendre que je n’étais pas un Ahmadi. De toute façon, lorsque je suis arrivé au
siège, des gardiens ne m’ont pas autorisé d’entrer directement. Ils ont voulu savoir si je n’étais pas
Dr Rashid. Je leur avais répondu non, et au lieu d’insister d’entrer, je leur ai demandé : « Ne suis-je
pas permis de prier dans cette Mosquée ? Vous pouvez me fouiller et m’autoriser d’entrer. » Après
un temps, ils m’ont autorisé et j’avais aperçu combien les nerfs étaient tendus suite à ma présence.
Après les ablutions (Wudhu), j’avais prié seul. C’était au cours de la prière de Asr dirigée par un
Muballigh du nom de TahirAta-ul-Mujeeb. Mirza Tahir semblait paniquer dans l’attente de sorte
qu’il ne s’était pas présenté à la prière en assemblée (Jamaat). Après la prière. Ata-ul-Mujeeb quitta
précipitamment la mosquée mais je l’avais arrêté pour lui expliquer les raisons de ma visite.
Moi (Ahtesham-ul-Haq) : Je suis venu pour un Mubahila avec Mirza Tahir.
Ata : Faites-le par écrit et le Mubahila aura lieu.
Al-Haq : Cette méthode est contraire à la Sunnah de Rasuulullah (SAW). Au cas où Mirza n’était
pas disponible, alors faites-le à sa place.
A ce moment, il commença à éviter le sujet pour que je le laisse partir. Finalement, il me
demanda : « Quel est votre statut pour que vous veniez pour un Mubahila ? »
Al-Haq : Dans son défi pour un Mubahila en 1988, Mirza Tahir a défié tous les ennemis, les
incroyants et les menteurs pour le Mubahila. Il n’y avait pas de condition que seuls les
Molvis étaient autorisés à le faire. Ainsi, s’il vous plaît, ou vous appelez Mirza Tahir ou
vous qui êtes le Muballigh de la Jamaat Ahmadiyya, faites-le avec moi pour prouver que la
Jamaat est dans le droit chemin.
Ata a catégoriquement refusé en ces termes : «C’est Mirza Tahir qui a lancé le défi et non moi.
Vous devez l’attendre. »
Mais Mirza Tahir était si paniqué qu’il ne s’était présenté même pour la prière. Il retourna en
récitant ce verset : Jaa al-Haq wa zahaq albaatil : « La vérité est arrivée et le mensonge a disparu. »
Chers frères Ahmadis !
Pour combien de temps encore ces mensonges seront-ils propagés et que personne n’ose se
présenter pour le Mubahila ? La vérité est que plusieurs érudits musulmans ont défié Mirza Tahir
pour le Mubahila parmi lesquels le Mouvement Anti Ahmadiyya et les gens du Khatme
Nubuwwat. Pourquoi ces Muballighs ahmadis continuent-ils de prononcer des faux Khutba alors
qu’aucun membre de la Jamaat ne répond au défi de Mubahila ? Je vous invite à réaliser la vérité.
Pourquoi ces gens défient-t-il à plusieurs reprises Mirza Tahir Ahmadi Qadiani et sa famille pour
le Mubahila ? Et pourquoi d’autres le font-ils à sa place? Demandez-les, pourquoi considèrent-ils
les autres comme des chèvres à sacrifier ? Ne savent-ils pas que lorsque le Prophète Muhammad
(SAW) avait été invité par les Chrétiens de Najran pour le Mubahila, il avait aussitôt amené sa
famille ? Le meilleur moyen est que Mirza Tahir se présente lui-même pour un face à face mais je
suis convaincu qu’il ne le fera pas parce qu’il sait fort bien que le destin funeste l’attend.
LA FUITE DES MUBALLIGHS POUR LES DEBATS ET LES MUBAHILAS
J’avais invité Molvi Basit Dar pour un débat sous la protection de la police mais il avait
décliné l’offre. Je lui avais demandé de tenir le Saint Qur’an et de déclarer que Mirza Ghulam
Ahmad Qadiani Saheb était véridique dans ses prétentions mais il n’avait pas été capable de le
faire. L’inspecteur Molvi Abdul Haq de Qadian avait abandonné le débat et avait fui. Molvi
Burhan Zafar me défiait en me demandant d’appeler les savants musulmans pour un débat mais
lorsque j’avais eu assez des connaissances, il avait refusé. J’avais même défié l’actuel Muballigh
Molvi Shamshad Saheb pour un débat, il avait aussi refusé. POURQUOI ? Jusque quand vont-ils
tourner le dos ? Pour encore combien de temps continueront-ils à tromper ces ahmadis ignorants?
Quand Dieu apportera de la lumière à ces stupides ahmadis pour qu’ils réalisent la tromperie de
leurs leaders et ainsi rejeter le Qadianisme ?
Mais pour celui qui veut mener une vie d’illusion, il n’y a pas de remède pour lui.
MUBALLIGH YUSSUF A ECHOUE DE GAGNER LA RECOMPENSE DE 10.000.000 RS.
Dernièrement, du siège de la Jamaat un nouveau Muballigh,Yussuf Saheb était envoyé pour me
prêcher dans le but de me ramener dans le giron du Ahmadiyyat. A Andhra, le 11 Juin 1999, je lui
avais présenté les preuves tirées des livres de Mirza Saheb sur ses croyances anti islamiques en lui
demandant de prouver que les citations étaient fausses. Et s’il en était ainsi, je lui avais promis
100.000Rs de récompense. Ce qu’il n’avait pas pu.
De même, je lui avais demandé : « Quelle est la signification de Mahdi ? » Il avait répondu : « Le
bien guidé.»
Je lui avais demandé encore : « Mirza n’avait-il pas de maître ? »
Il répondit : « Il n’avait pas besoin de maître pour lui enseigner. »
Je répliquais : « Si nous prouvons que Mirza Saheb avait des maîtres, abandonneriez vous le
Ahmadiyyat ? »
Il changea sa première déclaration en disant : « Il en avait deux. »
Je lui dit alors : « Trois et si vous ajoutez aussi son père, il en avait quatre. »
Sur ce point, je rappellerais aux lecteurs, les déclarations contradictoires de Mirza Ghulam Ahmad
Qadiani.
En relatant l’histoire, de sa vie, il avait écrit :
« Lorsque j’avais entre 7 et 8 ans, un maître perse du nom de Fazal Ilahi était engagé pour
m’apprendre le Saint Qur’an. ……A 10 ans, un autre maître appelé Fazal Ahmed m’apprenait
l’arabe et lorsque j’avais 17 ans, j’étais enseigné par un Molvi Saheb dont le nom était Gul Ali
Shah payé par mon père à Qadian. » (Roohani Khazain vol. 13p.180)
Toutefois, en avançant sa prétention d’être Imam Mahdi, il avait expressément ignoré ce qu’il avait
écrit auparavant. Il était sans scrupules même dans ses fausses déclarations sous serment.
« Mahdi n’a été l’élève de qui que ce soit. Je jure que c’est exactement ma condition. Personne ne
peut prouver qu’un humain m’a appris le Qur’an. » (Roohani Khazain vol. 14 p. 394).
Comme fondateur et disciple, Molvi Yussuf a expressément menti en cachant le fait que Mirza
Saheb avait bénéficié d’une éducation auprès des enseignants bien qualifiés. Maulana Sarfaraz a
offert 10.000.000 Rs sur cette question au cas où Molvi Yusuf prouverait à partir du Qur’an et
Hadiths que l’Imam Mahdi n’avait pas eu d’enseignant. Hélas ! Molvi Yussuf n’avait pas été
capable de prouver les fausses citations anti-islamiques pour ainsi gagner 100.000 Rs. Il avait
également été incapable de gagner 10.000.000 Rs pour prouver que l’Imam Mahdi peut avoir un
maître.
Mes chers Ahmadis !
J’ai passé une bonne partie de ma vie parmi vous, je suis dans l’obligation de vous faire parvenir la
vérité pour que je me décharge de cette responsabilité au Jour de Jugement. Transmettre le
message est mon devoir, octroyer le Hidayah revient à Dieu. Avec l’illumination dans le coeur, je
jure aujourd’hui sur Allah que d’après ses écrits, Mirza Ghulam Ahmad Qadiani était un Menteur
dans ses prétentions de Prophète, de Messager, de Messie et de Mahdi. C’était un MENTEUR, UN
PARFAIT HYPOCRITE, UN APOSTAT et UN KAFIR. Dans tous les livres écrits par les érudits
en Islam sur Mirza Saheb, les citations sont correctes, les pages peuvent être différents mais les
citations sont telles qu’elles sont écrites dans les livres originaux. Le tapage fait par la Jamaat
Ahmadiyya selon lequel le Mouvement anti Ahmadiyya diffuse de fausses informations et les
fausses citations est absolument mensonger, diabolique et constitue une désinformation tricheuse
pour la consommation de son public.
Moi, Ahtesham-ul-Haq, ex- Ahmadi, Maulana Sarfaraz, Dr Rashid de Dubai et Dr Ahmad Odeh,
ex- Ahmadi vivant en Suède défions publiquement l’Amir de la Jamaat Ahmadiyya Mirza Tahir
Ahmad Qadiani et ses Muballighs éparpillés à travers le monde pour un débat public sur la vie et le
caractère de Mirza Ghulam Qadiani sur ses croyances, sur ses prétentions et sur ses écrits en
présence de ses fidèles. Veuillez fixer la date et le lieu. Insh’Allah, le mensonge ne peut sûrement
survivre devant la vérité. Après quoi, ne restera dans la Jamaat que les profiteurs mondains tandis
que le chercheur de la vérité sacrifiera tout pour prendre la voie du Qur’an et de la Sunnah de
Rasulullah (SAAW).
« Votre foi n’est pas complète que si vous ne m’aimez pas plus que vos pères, vos fils et
tous les êtres humains. » (Bukhari)
Tel est le critère fondamental, mes chers Ahmadis. Laissez-moi voir qui vous aimez, Mirza
Ghulam avec toutes ses fausses et diaboliques doctrines ou le Saint Prophète Muhammad (SAW)
avec son véritable Islam ? Ceci constitue le test de votre bonne foi.
N’hésitez pas à m’écrire, cela me fera énormément plaisir. Vous pouvez envoyer votre lettre sous
pli recommandé sinon les Ahmadis vivant dans le même building la détruiront. Voici mon adresse:
Ahtesham-ul-Haq Abdul Bari
9/10 AlHaq Building
17 Y M C.A Road
Mumbai 400003
Inde
Sarfaraz Salam
S.R.Traders, Kallo Beedi Ki Chawl
19 A, shop N°1, Umar Rajab Road
Madanpura, Mumbai 400008
Inde.
Dr Syed Rashid Ali
P.O Box 11560
Dibba Fujairah
United Arab Emirates.
rasyed@emirates.net.ae
http://alhafeez.org/rashid.